mardi 13 septembre 2011

Avant d'décarrer.

J'me permet un p'tit paragraphe avant que j'décanille...il est 02:20, j'vous cacherais pas qu'j'ai un coup dans l'aile, le fait est que demain, à moi les mers du sud, et ca m'fait tout drôle....De pas savoir ou j'part, et pour combien d'temps. Bref, passons les états d'âme. ( j'précise que j'ai un coup dans les carreaux alors celui qui viendrai moufter sur mon orthorgraphe j'l'emmerde, mais avec douceur, toujours dans la politesse...)Enfin, demain j'part...Pour un monde inconnu, ca m'fera surement pas d'mal. J'vient d'passer une soirée magnifique en compagnie d'monsieur Mitch l'Irlandais (et d'mon amour de jeunesse.), maintenant...à moi la solitude du rafiot perdu au milieu d'nulle part, à moi la masturbation dans l'souvenir des fesses d'antan, à moi la grisaille du marin. Maussade mais digne. Dans l'éspérance du r'tour, dans l'immediat, j'me sens brisé comme une jeune fille malmenée par un régiment d'cosaque, a la surprenante, comme ça...j'file vers de inconnu coins comme dirait nos amis ch'tis. Moi au fond c'que j'en pense, c'est qu'j'essaye d'évolué dans l'sublime, la prestence de coin d'bistrot trés peu moi. Alors j'encourage le populo du coin a enlevé la paluche qu'il as dans l'fion et d'se sentir comme Martin Riggs dans l'arme fatale..INVINCIB'. Les avis c'est comme les trou d'bal, tout l'monde en un (comme j'ai entendu dans la nouvelle guerre des boutons) Tout ca pour dire, que j'suis pour que tout l'monde fassent c'qui pensent être correc', ou pas forcement, mais qu'tout l'peuple fassent c'qu'ils sentent. Enjoy, mes chérubins...J'vous quittes pour quelques temps mais j'reste pas loin. Une fois d'plus ce texte n'as pas etait corrigé, et ca m'empechera pas d'dormir. J'embrasse tout mes amis, les autres...un peu moins. Et étant donné qu'la dynamique constitue la surprise de l'interet...Pour citez mon maître; I will be back. (motherfucker).

jeudi 1 septembre 2011

Comme d'ha-bite-ude.

Oublions mes paragraphes érotico-mmerciales, on va s'payer une tranche de bonheur mes enfants. D'nos jours y'as plus un brin d'poèsie qui traine, mais moi, en cette noille orageuse, j'ai l'coeur au bord des lèvres. Y en faut bien un qui s'dévoue, histoire d'faire une moyenne. Parce qu'en c'moment les gigolpinces casanova à la douce prose, t'en rencontres aussi souvent qu'un Écossais donneur de sang. Alors on va mettre les adjas vers des cieux moins vicelards, s'mettre sur orbite au whisky frelaté en attendant celle qu'aura un sou d'amour pour ma tirelire.
Y'as plus que ça qui m'maintient mes pauvres amis, quand je vois ou on en est, regardez les toutes ces pauv' petites. Comment veux-tu avoir la patience d'débagouler des mots d'amour à une souris paumée qui passe son temps à affuter les clarinettes de gus pas vraiment chatoyant, et encore plus difficile qu'elle te réponde la bouche pleine de jus d 'couilles, sans déc', on est ou là putain d 'merde, ou qué sont les femmes du monde, hin? J'sais bien que je m'écarte de la poésie initialement annoncé mais aujourd'hui je me sens aussi doux qu'une râpe neuve, alors parlons d'aut' chose. Puis jaspiné d'mes belles mousmées d'antan, celles qui sentaient bon l'pain au lait, les suent l'amour, ça fait vie en peau d 'chagrin, l'truc pas vraiment jouasse. Pi t'façon, maintenant que j'ai du grisbi sous l 'coude, et honnêtement gagné, j'y tiens. Je vais bien réussir à m'dégoté une gerce, merde quoi ! Hé, brillantiné comme un piston d 'cadillac, lingé comme un milord, avec des flèches plein les profondes, c'est comme ça qu'on soulève, nan? Ou qu'on d'vienne un micheton j'sais pas vraiment... J'me fais pas d'souci sur c'projet parce que celle qui voudra m'éponger mon osier faudra qu'elle s'lève tôt l 'matin. Ah parce que ça c'est une spéciale aussi, un savoir-faire croyait moi, une institution même. Pour la p'tite histoire ça vient du terme "un miché ou michet" un client de tapin quoi, qu'est devenu un beau jour "un micheton" d'ou "michetonner", payer les services d'une fille. Enfin... Faut bien que j'aucun y trouvent son compte. Ceux qui pinent et ceux qui s'font piner.
Je remarque que mes p'tite histoires tournent souvent autour de mesdames les prostiputes ces temps-ci, 'vais tacher de voguer vers d'autres vices maintenant ...