samedi 15 décembre 2012

Sans contraires il n'est pas de progression.

 Des couilles congestionnées ça dure que quelques heures, mais un palpitant amoché ça peut durer des années. ah y'as d'quoi s'triturer l'intellect sur la question. L'engagement, s'entifler avec une gerce... Ça a collé les miquettes à que'ques cadors croit moi bien. Y'en as plus d'un à qui ça a foutu l 'trac.
 Tu m'rétorquera avec ton sens incommensurable de la repartie qu'c'est quand même plus peinard de t'mettre les miches au chaud loin du bain d'emmerdement qu'est inclus gratos dans l'fait d'être marida. Parce que c'est vrai qu'avec le primaire, le rustre, le solliciteur du "part devant j'te rejoins" y'a quand même une veille tendance a donné dans l'évasif quand il s'agit de s'foutre a la colle avec une môme, y'as l'option qui taquine parce que t'es croque mais ça fait moins d'suif de visiter les fions des voisines... Tout en leur attribuant l'respect qui leur est du of course. Car si la p'tite te mouche tu peux laisse quimp' sans t'faire de mouron et entreprendre la suivante tu piges? Et encore better pour le Roméo si c'est un miroir à gonzesses, si ça joue dans le feutré avec les nanas, ça évite les avaries. Puis pour c'ui qu'est un peu moins enragé du jupon, C'ui qu'a le charme moins prononcé, ben il aura mal aux valseuses que'ques plombes pi c'est mare. Tandis qu'le chérubin qu'en as une dans la peau le turbin s'gâte. En cas délourdage intempestif, la pompe à raisiné met certainely plus longtemps à s'colmater qu'une paire de balloches qui s'est vu annulé l'déléstage prévu. J'en connais deux, trois qu'ont plus rien qui palpite sous l'téton gauche, une pavâsse à la place du coeur.
À défaut d'avoir été mis en bouteille le bougre boira son contenu. L'esseulé est un être errant qui recherche dans les vignes du Seigneur son paradis perdu. il quémandera tendresse auprès d'infinies putains, jouissance machinale et adieu terne.
Lorsque las du superflu, se débridera la lourde de son désir et là, il reprendra la quête du sein Graal nommé Amour. L'intensif de qualité... Le rêve se faisande, la foi reste. On pense s'affranchir de la doctrine universelle qui stipule qu'être jouasse dans la vie, et favorisé fortement par l'option "je veux aimer et être aimé." Au terme, c'est celle qui relit les prolos des rupins, les consanguins des métisses, car sans contraires il n'est pas de progression.

jeudi 1 novembre 2012

A ma môme.

Inébranlable, jusque dans ces flots vengeur
songeur, dans la quiétude de ces eaux imperturbable
je dinerais à ta table amour, envers et contre ces grains possessif
puisqu'au canif sur la coque de ce toujours, je graverais nos contours
d'un sillon d'abbysse, deux coeurs à nos désirs
pavillonne notre insubmerssible navire, c'est aussi haut que je hisse
sous le plus doux des zéphirs.



Enivrante accoutumance, entretenue par ses pomettes rieuses
après ces centaines d'offenses, me voilà béni des dieux
loin de mes songes l'image pieuse a sa vue
car le pauvre diable que je suis ne peut mieux
et tu sens contre ton sein ma douce, les caresses d'un bienheureux.



Pantin impuissant du fou métronome
de cette mer qui m'a promis son sein
homme d'un coup enfant, j'en viens
à cette terre qui m'a juré le tien.



lundi 18 juin 2012

Ô ma douceur.

"Moi qui n'croit pas en l'éternité des passions, c'est surement entre ses bras que j'vais calanche, alors en attendant...Vivons emsemble.
Jusqu'as c'jour ou sur le quai, crechera plus c'regard noircie par l'rimmel, posé sur mon vaisseau prenant l'large. C'jour là, j'en voudrais a la mer entière."

           Ô ma douceur.

j'ai chaussé mes bottes bleues, encore je part. J'm'en vais r'joindre mon amante comme tu dit, celle qui m'accapare. J'apostrophe un doux baiser sur ton front chaud, enquille un baluchon sur mes fières endosses et imprime ton image dans mon esprit. Dans 15 lunes, 15 nuits et nous nous r'verrons. Pour l'heure, cap au suroît et j'salue les grains.
Au passage des feux du port, j'me r'mets c'faciès de môme, r'tenant ces lacrymales avec peine, f'sant etinceller ces yeuxs pareil qu'a l'étoile polaire les noilles d'hiver. Ces yeuxs qu'avait plus l'air de rêver, ces yeuxs qui m'obséde.
J'me d'mande si t'as peur pour moi, si tes pensées pour ma gueule iodé n'laissent de place pour rien d'autre dans ton palpitant, ce metronome qui m'manque déja. J'me d'mande si c'soir tu roupillera seule, car tous te veulent.
J'ai passez la nuit les paluches dans la flotte, demaillant d'mes filets les trésors de la mer.Le sel cristallise dans ma barbe, une brise consume le megot posé entre mes lèvres, j'attend, l'âme en peine. Le r'gard tourné vers l'est...Ca y'est, le prisme des couleurs se r'fletant dans les embruns m'apporte le jaune des tes iris, ma poule aux yeuxs d'or.
En lovant une aussière dans une caisse vaseuse, j'lambine a choufé la mer a l'orée du jour, dans une grisaille presque terne, une fine bruine lancequine a la surface de l'étendue, brouillant doucement cette mer presque calme...Une apparence de tamise nappé d'"fog" dans l'London des films d'espion rosbeef, m'amène a une douce salope de nostalgie maussadesque. Cette eau percutant ce presque miroir marin, m'embrume l'caberlot d'l'époque ou les mouflets qu'nous etions rentrait dans les cahuttes des aisés pour appreciez leurs piscailles, sous une pluie tiède, dans la torpeur d'une journanche d'aout. Et fatalement a toi, ma tendre.
Il est tôt, j'm'endors, toi, tu t'eveille, tu m'manque depuis des années, pourtant, on c'est quitté la veille.
J'maudit déja ce jour ou tu partiras, las de m'attendre.
"Dès lors ou mon âme n'aura plus pour toit cette passion, l'océan n'sera qu'un funeste horizon."
Et à l'heure ou sous l'matraquage de ces flots, j'glisserais, en souriant a ces tourments, j'demande cette phrase, comme funèbre oraison.
Au 46°13'991 N 1°40' 402 W Force 4 a 5, dans l'gaillard de c'rafiot sur lequel ma vie défile, sans toi. Mes dextres cradingues sallisent cette page empli d'tendresse, j'me sent mouillé, mouillé des pieds jusqu'au coeur, en patientant a l'alizée, l'zéphir, voir même la bourrasque, qui m'ammenera ma douce créature ,toi, le vent divin qui sechera cette flotte salé v'nant des abysses de l'océan ou du bord de mes cils...Pour consumer un amour, tombé du ciel, rien qu'toi & moi, entre terre et mer.

"Bacchus & Neptune comme comparses, un jour ou l'autre, l'un des deux m'noyera, car en habitué d'l'éxcès...Jamais je n'metterais d'eau dans mon vin.

jeudi 15 mars 2012

Maux d'amour.

C'est ruisselant d'ïnouisme d'voir comme les temps changent à la galopante, à toute berzingue. Le temps qu'tu t'retournes, le minet qui f'sait dégouliner les sucs cyprinesque dans les satinettes d'nos jeunes pucelles c'est transformé en un triste jeune vieux chanteur essayant de s'redoré l'zonblav dans les émissions trouduculturel type "les enfants de la télé"... Les temps changent c'est sur, les hommes moins. Et moi encore moins qu'les autres il semblerait.
 J'me f'sait cette réflexion légitime en dénombrant le taux incalculable de bougrerie de "statut" branlotin, merdique, tarte, insipide au plus haut point sur la poste d'aujourd'hui, j'ai nommé Facebook. Sans déc', j'te mets en situasse; C'matin t'émerge de ton pucier, tu sens qu't'as un retard d'affection, situation désobligeante tu l'accordes? Ben mon bon cave, il a juste à se connecter sur ce forum de remède à l'amour, d'choisir sa vénus, de débiter la fumisterie ha-bite-uel et de commencer la recette pour la bouilla-baise. Même pour l'fétiche naveton tricard de l'antre des plaisirs de nos plus plaisants modèles fût un temps, c'est d'venu l'empalade à la douce et "tu viendras avec moi quand j'irai nulle part, tu porteras l 'panier..." Quand j'pense que dans un passé proche on s'envoyait des lettres. Maintenant t'as juste à transmettre via l'world wide web que t'as envie d'décharger pour qu'ça s'bouscule au portillon...
Ça s'rait mesquin d'ignorer l'fait qu'j'utilise se procèdé à des fins charnels, mais bon, j'suis un homme de mon époque... Je reste quand même de ces gens qui prône et utilise la lettre, notre bonne veille lettre... Quoi d'mieux pour jaspiner des mots, maux, d'amour... La patience, l'attente, l'écriture, le choix des mots... Donne à la lettre un charme qu'aucune cyber saloperie n'pourra remplacez. Aujourd'hui les hommes ne tiennents plus la porte aux dames, la preuve d'un temps oublié.
J'pense qu'écrire, comme j'le fais là, participe au bon fonctionnement d'un être, expulsé son trop-plein, moufté du mal aise, n'peut que faire du bien. Et que l'on devrait continuer à s'écrire quand on s'aime, sur du papier, cacheter de notre tendresse.

jeudi 1 mars 2012

La vie en rose.

J'croise la souris, j'commence par la politesse de circonstance;
-Alors môme, quoi d'bavon en ces temps d'crise?
-Oh tu sais c'est pas jouasse, m'répond la petite. J'ai mon julot qu'ai rippé vers les tropiques pour marner...
Du coup moi tu m'connais, je flaire l'affure, et j'la joue évasif, décontracte, le mec qu'a understand que ça s'goupiller correc' pour sa pomme mais qui tend vers la distance voir le mépris. Parce que j'te remémore la situass', c'est une polka qu'j'avais d'ja entamé à la discussion mais qui s'trouver en pour- jacter avec le branque qui la laissé à découvert. Donc j'lui sors quelques boniments genre désolé, tu vas-t'en r'mettre et toute la complainte habituelle, sauf que l'amazone me rétorque la punchline qui m'a tout d'suite fait dégodé, la phrase qui t'fait rentrer l'zboub à l'intérieur, tel l'escargot dans sa coquille.
-Nan mais on est toujours à la colle.
-?
-Ouais, il est parti qu'pour 36 mois, ça va vite passer, puis on s'aime tu sais.
Alors là j'réponds plus de rien. Relation à distance qui z'apelle... Putain celle-là elle est raide, J'sais plus vraiment comment on dit mais y'as un mot pour ça, ces deux mots ont rien à branler l'un à côté d'l'autre. J'me trompe? Attends je développe pour ceux qu'ont la tronche pleine de sable. Une relation, ça laisse supposé qu'y'est du contact, ça veut dire c'que ça veut dire quoi, alors tu vas pas m'faire croire c'est pas d'ja un joli sandwich aux emmerdes quand c'est pas à distance, alors entreprendre le projet alors que l'autre crèche a 15 000 bornes et qu'tu croises Césarin toutes les années bissextiles, excuse-moi de t'l'annoncer comme ça mais mieux vaut s'asseoir sur une pomme de pin plutôt que d'cueillir ces fleurs de connerie et d'en faire un bouquet! Je travaille quand même la môme pour aller dans l 'détail.
-Sinon, t'as pas peur qu'il s'trompe d'adresse ton Roméo? Qu'il arnache une autre pouliche quoi.
La dérangée m'répond avec douceur;
-IMPOSSIB', et tu sais pourquoi, parc'qu'avant d'décarré il m'a offert une bagouse, pi il m'écrit presque tous les jours, il me dit des mots d'amour, des mots de tous les jours, et ça m'fait quelque chose.(elle est pour toi Édith!)
Putain elle a encore plus la berlue que je penser, pauvre amoureuse... Elle est enfumé d'première pendant que cézigue doit prendre ses burnes pour des lanternes magiques, gentiment en train d'se faire une collection d'maladies vénériennes sous le tropique du cancer. La pine complètement rabougrie a force de limer à couilles rabattues, quelle tristesse, autant d'confiance ruiné en quelques pensées obscènes. Elle s'est rangé l'index dans la lucarne pauv' petite, et moi j'la r'garde avec compassion et surtout une vieille envie d'lui faire la rocambole de Milan et l'tabouret Kozakh. La prendre dans mes bras, essuyer la couche de merde qui obstrue ses jolies mirettes... Lui r'donner goût aux élixirs d'amour, m'enfin, profité d'l'affaire ça f'rait mauvais genre, non?
Et puis merde hin, c'qui est pris n'est plus à prendre... Et d'toute façon, j'ai jamais fait ma communion.

lundi 27 février 2012

Que dieu sauvent les siens le diable emportera les autres.

L'artiste avait une mine de fin d'mois, malheureux en amour et ça lui donner tous les droits. Il était pas triquard avec les souris Césarin, loin d'là, il avait pas b'soin de s'passer la pogne dans les tifs pour activer la combustion, il en a fait sauter plus d'un des berlingues, il en a calcé treize à la douzaine des mousmées mais, c'était pas un furet en c'qui concernent les choses de l'amour cette pauv' pomme.

C'était un grand machin, sec comme un coup d'trique, on aurait pu lire l'baveux du matin à travers, les copeaux court et châtain, aèrien, soup' comme dans les pubs pour shampoing. Il avait des yeux bleus, transparents, en spectre, abyssal, qu'on aurait dit qu'il eusse été découpé dans un bout d 'ciel, des joues roses avec une bouille de gniard pondu dans la smaine. Jeune sang, seulâbre et un peu apache, un môme paumé comme un coup d'épée dans la flotte, trompe-la-mort comme on en croise que l'jour de la St j't'encule. Il était sinistros à vous fendre l'âme, l'genre de gus qui entre dans un troquet et qui reçoit en cadeau d'bienvenue une bigle générale et un silence d'église de 30 secondes tu situes? Tous ça lui il s'en branlait, il laissait, il s'en lavait les paluches, ça lui f'sait ni chaud ni froid, même pas tiède. Lui c'qui l'rendez branque c'était l'amour. Il voulait en croquer de la romance et oublier l'reste, les autres, les caves, les loquedus. Il avait un ver qui lui manger l'coeur et ça l'rendait triste comme un jour sans pinard. Oublier l'déluge et courir après l 'bioutifoul, c'était ça la gamberge.

C'était quand même l'type de l'apôtre d'arquer avec une ou deux polkas sous l 'coude, tu sais c'était par l'genre à aller à la messe et à boire de la flotte, lui fallait sa ration d'amour et il s'fendez pas l'cul pour la trouver crois-moi bien. C'était pas l'boutanchard craspec, il avait d'l'elégance l'homme et ça plaisait aux mômes. Faire reluire du bout d'viande sans donner l'coeur ça lui causait plus. Il voulait celle qui s'piquerait son blaze sur l'épiderme en guise d'alliance, celle avec qui il mélangerait son sang, d'une croix sur l'avant-bras en guise de voeux d 'mariage. L'inconditionnel, profonde et réciproque passion, l'amour carabiné. Croisade difficile qui s'annonçait, en va d'la-gueule confirmé rien n'lui foutez les foies. Passant outre les gueules de cire qu'on malaxe à not' guise, il s'attacha à une asphalteuse belle comme l'amour, une crevette qu'en avait schlass d'éponger du miché, soulageuse professionnelle, vidangeuse d'amour...une divine. Elle le serra fort contre son sein, l'tic-tac de son palpitant résonnait dans son caberlot. Il a fui le triste reveil au matin dans un lit qui révèle l'avortement des fougues de l'alcool durant toute sa jeune vie, désormais il sent l'raisiné qui navigue frénétiquement dans les avantages de la petite, il s'y sent apaisé, les pieds en bouquet d 'violettes. Et elle tomba morgan quand en passant sa pogne aux creux d'sa nuque il lui glissa; pourquoi ne pas rester dans tes bras ma belle, car l'homme qui fuit la varicelle, chope souvent l 'choléra.

lundi 20 février 2012

Mauvais gars & culottes en soie.

Tu la connais, toi, triste pré-pubère ingrat qu'nous autres les traîne-lattes du fond d'la classe on blazaient, avec une certaine affection "le lécheur de fion" ou encore "l'suspect" (parce qu'un suce-pets n'est pas forcément un lèche-cul.) la môme du premier rang, mais si, celle qui t'as fait monter l'tricotin durant toute ta scolarité exemplaire, celle qui s'range d'vant l'burlingue du prof' pour faire la distinguée...Ben l'jour ou elle s'rend compte Marie conasse, qu'elle s'fra jamais reluire par l'instituteur. Tu t'rapelle sur qui elle s'rabat l'enfant...Sur ceux qu'y t'pousse à la dépression et à voté Marine le Pen, les décadents, sur les buissoniers d'lécole, les grossiers, les enfants terrib', ceux qu'on des marques suspect sur leurs nippes mais qui s'en branlent...Tu les connait ceux là. Et beh laisse moi t'dire qu'tu tombe au poil césarin....

c'est à dire qu'en adepte con-vaincu du cancrisme, pour m'activer la combustion dans l'secteur du plafonnard fallait décaniller d'bonheur (oui j'ai écrit bonheur et pas bonne heure, car pour l'sombre connard qui s'pensait superieur a mézigue parce qu'il était titcheur et qui voulait m'bourrer l'mou avec des conneries donc j'me s'couez les balloches comme de ma première dent...Lui en fallait d'la joie d'vivre.) croit moi bien, c'est à dire que l'école, moi, ca m'en touché une sans faire bouger l'autre quoi. Pour qu'tu t'situe, moi jusqu'as, a vu d'pieds 12, 13 bougies j'pensais que l'édit d'nantes c'était une dame anglaise qui crechée à nantes et que quand une nana avec une moujingue prêt a démoulé disait "j'perd les eaux" j'croyais qu'c'était des os qui foutez l'camp...Alors dit toi que pour celle qui r'cherché l'va d-la-gueule de base avec moi elle était servie. J'doit quand même précisez que j'me suis quand même permis quelques minutes de refléxion sur la tisane, parce que merde elle est quand même raide? Pourquoi l'besoin d'aller chiner l'voyou d'base alors qu't'as Georges-andré 1er du nom qu'est à la queue, à la prétendance? Tu pense qu'elle s'emmerdent tant qu'ca les souris d'nos jours?
Parce que l'besoin du piquant, d'l'aventure, d'dire merde a ces vieux et d'monter quand même sur une mobylette qui va vite, derrière Johnny b.Goode coupe glacée à l'huile d'olive...J'l'entreprend. Mais que fais tu du trés acceptable avenir que des chat'lins d'parents t'on préparez ma p'tite douceur?! Alors c'est ça la jeunesse? Ont s'saignent aux quatres veines pour qu'nos têtes blonde avec médailles de baptême aillent a sup de co et ont les r'trouvent a biberonner une gniole dégueulasse avec des mouflets fringués avec des loques que même un mécano r'fuserait pour nettoyer son établi....Putain tout ça, moi, ma m'projette à un avenir bien peu reluisant mes enfants. Mais comme dirait l'pissecologue, à vrai dire c'est comme ca qu'le vieux tas d'excrément qui nous sert d'habitat fonctionne et c'est pas plus mal, les p'tits s'couent les grosses, les bruns baisent des blondes, les chinois restent entre chinois a faire des trucs cradingue. Y'as qu'ceux qu'on pas un talbins qui continueront a s'faire taper dans l'oigne par toute l'équipe, pour ceux qui sont d'l'aut' côté d'la barrière et pas prêt d'en sortir, ben profitez en les gars, ca f'ra une moyenne...Pi comme dirais mon dabe, toute façon...On les baisera pas toutes.

vendredi 20 janvier 2012

Conquérant d'la dignité.

Triste république, grisaille abjecte. J'emmerde, j'emmerde la sainte et aigre connerie ambiante. J'me considère de ces hommes, sombre et décadent, reluisant et cador, suppôt de satan pour l'un, messie pour l'autre...J'en suis mon con. Ouais. J'fait parti des gniaces pour qui la seul idée d'arrivée à la limite de la calanche, quand tu c'est qu'tu va démonter ton vélo, quand ca commence à sentir l'sapin duraille....hé ben la seul idée d'avoir le moind' regret d'viens la question ultime, le coup d'bambou, le projet d'une vie...Arrivé a d'venir vioque pénard, sans m'dire dans un élan d'connerie, que j'regrette ci ou ça. ATTENTION mes aieuls. Un travail de chaque instant. J'y tiens. Pour les lambins d'la calebombe faut êt' sur l'coup les gars...S'agit pas d'roupillé, dès qu'une affure t'parait craouette, rebrousse chemin gadjo, fais la toi à ta sauce, un peu personnel j'te l'accorde...Mais dans cette d'partouzerie d'crevure qu'on appelle le genre humain, j'f'rais r'marqué sans erreur y 'm'semb' qu'c'est "a vu d'pied" plus ou moins chacun pour sa mouille. Alors oui, y'aura toujours l'bourrin d'base ou la connasse nouvelle génération qui t'sortira la complainte "Sans dèc' gaby, tu picole trop, pi ca sert a quoi d'fumé comme un pomplar? Sans parlé des gonzesse que tu dézingue a tour de bras...Ca rime à quoi?" Ben mes enfants j'vais p'tet vous semblé primaire, mais l'projet, concrètement, c'est quand même d'faire qu'est c'qui t'botte, y m'semb'?! Parce que vu l'état d'ésprit actuel, le zigue qui va t'laché l'couplet d'une plombe sur c'qui est bien ou mal...Bah y'as d'grande chance pour que dans une pige tu t'rapelle même plus d'son blaze a cézigue. Pi toi au fond t'aura pas décarré d'tes positions, et t'aura bien raison...S'agit pas non plus d'tombé dans la caricature et d'visé dans l'éxcès. (pour ma part j'suis pour, mais c'est moi qu'ca r'garde) 'fin bon, moi, tout qu'est c'que j'veux dire, c'est que j'remarque de mon oeil aguéri (j'l'écrit comme ca parce que j'connait pas l'orthographe, et parce que j'fait c'qui m'plait) toute l'populo a une douce tendance a baissé son falzar pour suivre ci ou ça. Alors me v'la en conquérant, en charles martel...Mesdame, messieurs, faites moi l'plaisir de garder vos froc.