jeudi 1 novembre 2012

A ma môme.

Inébranlable, jusque dans ces flots vengeur
songeur, dans la quiétude de ces eaux imperturbable
je dinerais à ta table amour, envers et contre ces grains possessif
puisqu'au canif sur la coque de ce toujours, je graverais nos contours
d'un sillon d'abbysse, deux coeurs à nos désirs
pavillonne notre insubmerssible navire, c'est aussi haut que je hisse
sous le plus doux des zéphirs.



Enivrante accoutumance, entretenue par ses pomettes rieuses
après ces centaines d'offenses, me voilà béni des dieux
loin de mes songes l'image pieuse a sa vue
car le pauvre diable que je suis ne peut mieux
et tu sens contre ton sein ma douce, les caresses d'un bienheureux.



Pantin impuissant du fou métronome
de cette mer qui m'a promis son sein
homme d'un coup enfant, j'en viens
à cette terre qui m'a juré le tien.



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