mercredi 25 mai 2011

Aussi vrai qu'la vérité.

A travers les âges, l'homo sapiens n'a été motivé que par une seule et unique chose: Le fion. Et de mémoires d'hommes ça s'est toujours déroulé plus ou moins d'la même façon, à classer en plusieurs catégories, une sorte d'essaim d'abeilles investi par quelques frelons v'nu foutre le rififi, j'm'explique. A commencer par une des bizarreries de notre époque quoi que légitime, La bourgeoise gênée, voir scandalisée de voire sa progéniture se faire secouer le burlingue par quelques indélicats minets un peu chaud d'la pince, faut croire que l'mélange des genres ne fait pas bon ton chez nos amis rupins. Seule entrave aux rêves d'encanaillement de leurs chérubins, ces braves gens trouvent probablement qu'on a les ongles trop sales pour fouiller dans les culottes en soie, bien qu'en homme du monde mis à part mes fautes d'orthographes prononcées (merci au correcteur), j'ai en acquis le style caméléon, le switch comme dirait l'anglais, ce qui j'vous l'accorde est loin d'être le cas de tous mes semblables...J'en ai vu s'moucher dans les rideaux du living déco Louis XVI et s'essuyer l'chib' dans les draps avant de décarrer. Mais je m'écarte un brin du thème, Messieurs j'en appelle à votre bon sens, présentez vous de manière distinguée et forcez la politesse, en évitant de bequeter comme des sagouins si la belle smala vous invite à la graille par exemple, ça embaumerait un peu la situation fàcheuse pour nous "gens du peuple" envers nos bienfaiteurs du monde des distingués. Revenons à nos moutons, Femmes... Ensemble de volupté, de la prude qui s'excuse quand elle jouie, à la docile pas du genre à crier quand on lui parle de trop près en passant par la bourgeoise avec ces 30 kilos d'gélatine sur l'devant et les loches qui dégueulent sur la brioche avec les bigoudis dans les crins, 4 couches de Maybelline sur la trogne sans oublier l'décilitre de N°5. Chaque gus y trouvera probablement son compte. Quant à mézigue, en éternel indécis, je laisse ma distinction naturelle me guider jusqu'à la prochaine souris en mal de mots d'amour.

2 commentaires:

  1. Neal l'Apache, le marquis de Sade du 21ème.

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  2. Quoi d'plus agréable qu'un tel compliment à peine sorti du page, je t'en remercie cher lecteur. bien que maintenant il n'est plus question d'être condamné a mort pour sodomie c'qui m'enlève le poids conséquent d'pas terminé comme lui.

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