lundi 18 juillet 2011

Long comme un jour sans pine.

"Au début les femmes c'était comme une médecine puis après l'organisme s'accoutume au r 'méde."
Y'as quand même de quoi faire sur l 'théme, y'en a eu de la jaspine stérile la d'ssus, des litrons de bave écoulé pour qu'at zi end on soit pas plus avancé. Tu r'marqueras quand même mon aminche qu'c'est le leitmotiv de certains
gens du spectac' ou d'bien tristes écrivains ayant une imagination aussi fine et démuni d'vigeur qu'le zgeg d'un bébé écureuil. Le coup du "J'turbine sur la complexité des rapports entre ces deux étranges peuplades, afin de démontrer l'égalité des sexes et contre carrer la naissance d'un néo machisme abhérant en ce siècle qui donna naissance à tant de victoires pour les femmes...gnia,gnia,gnia." Méga branlette de la féministe de mi figue mi raisin un peu paumée qui veut écrire une pièce, mais détrompe-toi, n'allons pas si vite en besogne. C'est pas pour les talbins qu'elle fait ça la grognasse. C'est pour la digniqué féminine (pouet). Ensuite nous avons le dandy à la mèche folle, homme de scéne suintant l'champagne et l'héroïne, qui pour r'voir la douce et voluptueuse lumière du showbiz dégueulera une merde cinématographique qui s'blazera "Pourquoi cette salope s'est tirée?" Encore une fois on n'est pas dans l'remplissage de fouilles. Idéologique qui z'appellent ça... J't'épargne la complainte du Le quesnoy biblophile parce qu'y'en aurais pour des plombes, m'enfin. Dans tous c'barnum, tous ces échanges trouduculturels, les idées c'est comme les amis, faut pas trop en avoir. Mézigue je me complais dans ma langueur amoureuse, j'la joue plus à la surprenante maintenant, j'laisse ma fougue de côté, j'le laisse arriver l'instant T. Je tend vers la méprise. Parce que j'peux dire qu'j'en ai vu quequ' uns de jolies prose ondulé sous les draps d'mon paddock. Mais misent à part quequ' similitudes entre une poignée de leurs propriétaire qui m'faisait sourire les premiers temps...J'ai pas encore alpagué l'paltot d'la volupté, l'échancrure d'une môme qui sue l'amour. Terminarès le temps où j'calecé a couilles rabattues avec des filles de mauvaise vie, enjambée n'importe quelle escaladeuse de braguette dans des labinetcaisse d'la crémerie du coin, dispersé mon sirop d'joyeuses sur des dargeots qui l'merité même pas, les témoins à décharge qu'on dirait des raisins d'corinthe à force de s'faire éponger, Nan. Manquez d'sérieux l'affure .J'entends d'ici certaines déçues par mon retrait d'ce joyeux séminaire se dire "C'est long comme un jour sans pine." C'est vrai qu'pendant un temps y aurait eu des érections municipales...j'aurais été pas loin du podium y m 'semble. Mais un homme sur l'déclin y'as rien d'pire, j'vais pas non plus la tournée façon pessimiste, j'espère bien que d'ici a c'que la muerte m'entame les balloches à la lame gilette j'aurais trouvé une souris pour s'en occupé, merde. Pi entre deux lustrages, c'que je veux moi, au fond, c'est qu'elle et moi, ont s'marrent.
(Mais c'qui m'as vraiment décidé, aprés réfléction, j'me dit qu'toute façon...j'pourrais jamais toutes les baisées:)

2 commentaires:

  1. Parfois, faudrait regarder dans les filles moins clinquantes, les filles biens sont partout, elles se font pas r'marquer.

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  2. Ah c'est sur qu'plus la sourie est locdue, plus elle assure au page, les mômes mal branlées mett' plus de coeur a l'ouvrage pour remercier convenablement les gus qui les honorent de leurs attention ;)

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